AMAP, ça continue…

Voilà un bon moment que nous ne vous avions pas parlé de l’AMAP ! Pourtant nous continuons à y aller religieusement tous les mardi soirs 😉
Et la bonne nouvelle, c’est que c’est (bientôt) l’été : adieu choux, poireaux, bettes, bienvenue belles salades, courgettes et radis !

amap mai

Ce qui permet de cuisiner de tels petits gratins (courgettes/feta/jambon de pays) pour régaler mon petit mari…

gratin courgettes

Et puis c’est le début des sorbets, aussi… Sorbet pêche ultra-facile, pour ce week end (soit avec du nectar et non pas des fruits mixés)… Et oui, la sorbetière appelle le mixer !

A croire que la grossesse me donne envie de faire la cuisine…
Miaou à tous.

HADOPI le danger (bien) caché

Je me permets de recopier ici un exposé *un peu* technique, posté par un certain Philippe Maltere sur le blog Sécurité d’Orange Business Services. Écrit hier, cet article décrit une conséquence probable et méconnue de la fameuse loi Hadopi (débile à bien des égards, mais ce n’est pas le sujet) : elle risque de rendre pratiquement impossible le suivi des véritables échanges illégaux (terrorisme et pédophilie notamment). Super.

Faut-il s’étonner de constater que cet article critique ait été supprimé dans la journée, et n’est depuis accessible que via le cache de google ? Les apparences sont cruelles pour Orange, qui a tant à attendre du gouvernement en ce moment (je pense notamment à la vente de la 4ème licence mobile).

Mais bref, voici le texte de Philippe Maltere :

Après notre article sur certaines difficultés techniques un peu oubliées liées à la mise en place de la nouvelle loi Création et internet dite Hadopi, et puisque maintenant c’est (presque) fait, la loi étant votée, nous pouvons donc vous dire en exclusivité quel sera le plus grand danger de cette loi. Loin de nous l’idée de rentrer dans la polémique, ce n’est pas le genre de la maison. Il existe sur Internet à l’heure actuelle pas mal de scénarios de politique fiction sur le futur d’Hadopi. De la loi, nous ne sommes pas devins, nous n’en parlerons pas, par contre de ses conséquences certaines à moyen terme, oui.

Commençons par nous intéresser aux différents protocoles circulant sur Internet. A l’heure actuelle, la plupart des communications circulent en clair utilisant un nombre impressionnant de protocoles. Les communications utilisant le chiffrement sont assez restreintes dans leur utilisation, pour les particuliers les sites e-marchands, bancaire ou éventuellement gouvernemental (impôts par exemple), les entreprises utilisent de plus en plus elles aussi Internet pour communiquer via des VPN chiffrés entre agences. Le reste des communications chiffrées, et bien ceux qui ne veulent pas que leur communications soient « écoutés » (pour diverses raisons, mais principalement aujourd’hui illégales en majorité, ce qui peut les rendre « simple » à repérer) ou simplement veulent rester anonymes. Voici le macro paysage d’Internet, qui comme nous le voyons est difficilement contrôlable, mais le contrôle des flux pour soit reconnaitre le terrorisme, la pédophilie, ou le téléchargement illégal reste possible techniquement.

Que va-t-il se passer après le passage de la loi ?

Inutile d’avoir une boule de cristal… La mutation est en cours… D’un nombre important de protocoles utilisés, nous allons tomber à environ … deux (ou presque). Le http standard et sa version SSL. Le premier servant rapidement à passer au second pour que le contenu reste non connu de tous. Vous allez donc me dire le P2P va disparaitre, et c’est le but de loi, donc la loi est bonne. Oui, vous avez raison, le P2P tel que nous le connaissons aujourd’hui va progressivement disparaitre, mais pas l’échange de fichiers illégaux, la nuance est importante. Le fait de chiffrer ses communications va favoriser l’explosion (pour les puristes cela existe déjà)de nouvelles (ou anciennes)formes de communications. En ce qui concerne, par exemple l’échange de fichier, des logiciels d’échange travaillant sur SSL, des serveurs de fichiers centraux type rapidshare ou megaupload offrant une option HTTPS à leurs clients, des fournisseurs de news offrant une connexion SSL (pour la plupart c’est déjà fait). Le bon père de famille va prendre l’habitude de chiffrer toutes ces données même de messagerie grâce à des logiciels toujours plus puissants et de plus en plus faciles à utiliser, avec en plus un recherche d’anonymisation plus forte grâce à des réseaux de type TOR ou I2P encore plus faciles d’accès.

Mais vous parliez de danger dans votre titre encore un en trompe l’œil ?

Peut être pas, le danger, en fait sera pour … le gouvernement lui même, et dans une moindre mesure pour les fournisseurs d’accès Internet, et les entreprises. Pourquoi cela ? les communications très majoritairement chiffrées vont faire passer l’état d’Internet de difficilement contrôlable à totalement incontrôlable, apprécier la nuance. Tous les spécialistes de contre terrorisme cybernétique ou contre pédophilie cybernétique peuvent commencer à chercher un nouveau travail, ils ne servent plus à rien. Avant, comme nous l’avons vu seuls certains chiffraient leur communication, après que l’on est écarté les entreprises, les sites bancaires et e-marchand, il ne restait pas «grand monde » à vérifier, maintenant que toutes les communications sont cryptées, comment séparer le bon grain de l’ivraie ? Impossible. D’ailleurs, comme vous le savez, chaque pays a en projet une loi similaire à Hadopi. Les Etats-Unis en sont un exemple, mais à cet instant ce type de projet est écarté, ni par des associations de consommateurs en furie, ni par les artistes…. Non, non…. Par la NSA tout simplement, qui a tout de suite vu le danger de dérapage du tout chiffré (ils avaient déjà des problèmes avec Skype pour la même raison, alors généraliser le chiffrement pas question) pour les problèmes de sécurité intérieure non maitrisée. A méditer. L’impact sur les entreprises pourrait être un peu plus insidieux, en effet, ne pouvant plus rien contrôler les FAI devront tout laisser passer, adieu la qualité de service sur Internet maintenant balbutiante et bientôt lettre morte.

Je n’ai pas les compétences pour être aussi catégorique que lui sur ce point. Mais l’article ayant été supprimé rapidement par Orange, le copier ici est une façon de le faire vivre.

Samedi, en fin d’après-midi…

… sous un soleil normand de mai, Mamie Braffais nous a guidés dans son « légumier », qu’un parisien appellerait potager, où elle entretient ses petits pois, haricots verts, pommes de terre, échalotes…
Il y a là bas, au pied d’un poirier, un endroit qui ne sera jamais bêché ou piétiné par les vaches.
C’est là que repose Canadou, dans ce lieu qui a vu notre mariage et verra les premières semaines de notre bébé cet été.

nous_mariage.JPG

PS- J’avais oublié Chat-sans-pattes, quand il faisait froid et qu’il lui fallait mettre ses extrémités au chaud contre le ventre.
PPS- Et puis re-journée de grève et de manif jeudi 14, parce que la grosse Roselyne nous fait vraiment suer.

Le retour du geek

Depuis le 1er mai, un grand retour a eu lieu : Mme Gogo (mère) a repris Crêpes à Gogo, avec l’aide d’une ancienne responsable (années 1998-2000…), de ma marraine et ma sœur !

Conséquence lointaine : Sarah se retrouve sans ordinateur. Or en ces temps de thèse, il fallait agir, et vite ! Étant donné le temps depuis lequel je lorgne sur les netbooks, le choix a été fait finalement assez vite, et une vente d’occasion vite conclue sur un site de geek.

Voilà le résultat, un MSI Wind U100 pour 270 € :

Son écran fait 10 pouces (résolution 1024×600, en dessous c’est pas possible), il pèse 1,2kg, sa batterie dure 4 heures environ (de quoi tenir toute la durée du Paris-Vire, même quand le train a du retard) et, fin du fin, Ubuntu « Jaunty » marche dessus comme une horloge. Windows XP aussi, mais chut, ça c’est tabou.

Canadou.

Mais aussi Chaton, Chatounet, Chatounix, Kanakrok, Chaton-chat, Bébé-chat, Baby-cat, Caton, Catounet, Chat-coeur, Chat-soleil, Chat-saucisse, Catty-cat…

Canadou 21 avril

Des années et pas mal d’imagination lui avaient attribué mille surnoms.
Une semaine après son départ, reste une maison désespérément vide. Des amis et une famille incroyables qui ont choyé les deux naufragés que nous sommes. Un bébé à venir à qui nous avons expliqué toute notre tristesse.

La vie avance malgré tout, nous prenons pied dans notre quartier, je change de stage, Guillaume avance dans ses projets, le futur s’organise et prend la forme de petits vêtements en coton doux.

Le plus dur…

… je crois, sera de perdre toutes ces innombrables habitudes :

  • entendre son miaulement en montant l’escalier de l’immeuble, surtout quand nous rentrions tard
  • le voir nous recevoir (la position d’accueil, on appelait ça) : allongé sur le dos, à demander des caresses
  • ses échappées dans l’escalier de l’immeuble, à sentir les plinthes, les halls…
  • le prendre dans nos bras et frotter son menton contre sa tête
  • servir soi-même de matelas humain, allongé sur le canapé
  • entendre ses petits pas sur le parquet, le matin quand il venait nous réveiller et plonger avec nous dans le lit
  • le retrouver plusieurs heures plus tard à la même place dans le lit, voire dans la housse de la couette
  • l’admirer, si beau, prendre le soleil, perché sur son fameux arbre
  • et puis ce grand appartement qui devient si froid sans lui, ce royaume qu’il n’aura pas eu le temps de tout à fait maîtriser…

Il nous restera de lui un stock de photos et des millions de souvenirs. Canadou est parti samedi après midi, emporté par un lymphome, découvert fin janvier et qui s’est réveillé ces derniers jours. Il n’allait avoir que six ans, une vie de famille à quatre s’ouvrait devant nous. Ce sera donc à trois.

Je passe sur la douleur qui nous consume en ce moment. Il représentait notre vie de jeunes adultes, notre indépendance. On aurait voulu qu’il poursuive le chemin avec nous, vers notre vie de jeunes parents. Notre année 2009 promettait d’être superbe. Elle le sera certainement, mais voilée de noir.

Pour terminer, un mot trouvé ici :

… Un être qui était à moi autant que j’étais à lui, et dont l’amour est un don, qui avait renié l’indépendance féline comme j’avais renoncé pour lui à la liberté totale. Que ceux qui pensent « ce n’est qu’un chat » aillent crever dans un coin sombre, tout de suite. C’était MON chat, et je l’aimais.

C’était notre chat, et nous l’aimions.

Communiqué de presse du mouvement de défense de l’hôpital public… à l’attaque !

Devant le refus du gouvernement d’accepter tout amendement à la loi HPST, dite loi Bachelot, la communauté médicale de l’AP-HP, réunie en assemblée générale le 8 avril 2009, a décidé d’appeler à l’action l’ensemble des médecins des hôpitaux.

À partir d’aujourd’hui, nous arrêtons toute participation aux activités de gestion hospitalière (Comités exécutifs locaux, Comités consultatifs médicaux, Commission médicale d’établissement, réunion de pôles, préparation du plan stratégique, etc.).

Nous informons le gouvernement et les sénateurs qui vont discuter et voter la loi que si elle n’est pas amendée, elle s’appliquera sans nous.

En accord avec l’ensemble des syndicats médicaux et de personnels de l’AP-HP, nous appelons à une journée de grève le 28 avril avec manifestation de tous les personnels de l’hôpital, praticiens, internes, chefs de clinique-assistants, infirmières, aides-soignants, paramédicaux, administratifs, techniques et ouvriers.’

Nous sommes d’accord pour agir avec l’ensemble des organisations syndicales contre la suppression des emplois pour de simples raisons de rentabilité financière, et contre une vision purement comptable de l’hôpital. Nous sommes pour une gestion rigoureuse des deniers de la collectivité, au service de l’égalité d’accès à des soins de qualité.

Nous demandons la convocation d’états généraux pour une vraie réforme de l’hôpital et du système de santé.

Nous appelons l’ensemble des communautés médicales de la région parisienne et de province à nous rejoindre pour créer un mouvement national de défense de l’hôpital public.

Nous appelons les usagers, les associations de patients et la population à se joindre à nous.

25 professeurs signent un appel contre le projet Bachelot pour l’hôpital public

Le Nouvel Observateur publie cette semaine un texte signé par 25 grands professeurs des hôpitaux publics dénonçant le projet de réforme de Roselyne Bachelot, dont « le maître-mot », selon eux, « n’est plus la santé mais la rentabilité ».

NB : Le nombre de personnes soutenant l' »appel des 25″ continue de grandir. Dimanche 19 avril dans la matinée, 10.000 personnes avaient apporté leur soutien au texte, signé par des personnalités des hôpitaux parisiens, dénonçant la réforme de l’hôpital voulue par la ministre de la Santé Roselyne Bachelot.

En 1958, la grande réforme menée par le Professeur Robert Debré allait permettre à la médecine française de devenir en 30 ans « la meilleure du monde ». Cinquante ans plus tard, le Parlement va-t-il voter la loi « Bachelot » qui porte en elle la disparition de cette médecine hospitalière au profit d’une médecine mercantile ? Le maître-mot n’est plus la santé mais la rentabilité. La préoccupation centrale n’est plus le malade mais le compte d’exploitation de l’hôpital. Et les premières victimes en seront les patients et les soignants. Cette loi cale l’hôpital sur l’entreprise. Elle donne tous les pouvoirs au Directeur de l’Hôpital, nommé et révoqué par le Directeur de l’Agence Régionale de Santé, lui-même nommé et révoqué par le Conseil des Ministres. Ce directeur pourra n’avoir aucune compétence médicale ou en santé.C’est pourtant lui qui arrêtera le projet médical de l’hôpital. Lui aussi qui nommera et révoquera les médecins responsable des structures de soins (pôles, départements, services…). Sur quels critères ? La tarification des actes est semblable dans les secteurs privé et public – comme si les pathologies et la continuité des soins y étaient comparables ! La pensée marchande dont se prévaut cette loi réduit le qualitatif au quantitatif, le malade au tarif de sa maladie. Dans le même temps on organise des suppressions massives et injustifiées d’emplois d’infirmières et d’aides-soignants. Bien sûr, l’hôpital public doit être réformé. Mais certainement pas de cette manière. Il faut repenser l’organisation hospitalière pour répartir de manière harmonieuse sur le territoire, sans redondance, les stuctures de soins et les spécialités en prenant en compte aussi leur niveau de technicité et l’accueil des urgences ; organiser la continuité des prises en charge au fur et à mesure de l’évolution du type de soins que demandent les malades. Il faut réfléchir aux nouveaux métiers de la médecine ; prendre en compte la nécessaire pluridisciplinarité ; reconnaître et valoriser les actes des infirmières et des personnels paramédicaux (psychologues, diététiciennes, orthophonistes, etc.) ; promouvoir la prévention, le dépistage, l’éducation thérapeutique. Il faut impliquer toutes les unités de soins hospitalières dans des activités de recherche structurées et adosser les orientations cliniques à un projet médical qui ne soit pas fondé sur la rentabilité mais d’abord sur les besoins de la population, l’évolution prévisible des grandes questions de santé publique, l’avancée des connaissances et des progrès technologiques. Il faut un financement, propre à l’hôpital, qui tienne compte de l’innovation, de la lourdeur des pathologies, de la précarité, des handicaps de la vie. A cet effort-là, source de progrès et de solidarité, tous les médecins et personnels hospitaliers sont prêts à souscrire. Mais pas à cette loi destructrice et injuste. Soyons clairs. Si cette loi n’est pas amendée, elle s’appliquera sans nous, médecins et chirurgiens de l’Assistance Publique – Hôpitaux de Paris. Demain, côte à côte, et pour la première fois, infirmières, agents hospitaliers et administratifs, médecins seront dans la rue. Preuve que les mentalités ont changé, que l’union est faite pour que soit supprimé le volet hospitalier de la loi « Bachelot » et pour que s’ouvre enfin un débat à la hauteur de l’enjeu : il est encore temps et il est urgent d’organiser les Etats Généraux de l’hôpital public.

Les 25 signataires

Pr. Basdevant, endocrinologue, Pitié Salpetrière Pr. Bourgeois, rhumatologue, Pitié Salpetrière Pr. Bousser, neurologue, Lariboisière Pr. Brochard, anesthésiste réanimateur, Henri Mondor Pr. Dubourg, cardiologue, Ambroise Paré Pr. Fischer, pédiatre, Necker Enfants Malades Pr. Franco, chirurgien digestif, Antoine Béclère Pr. Frydman, gynécologue obstétricien, Antoine Béclère Pr. Gaudric ophtalmologue, Lariboisière Pr. Gluckman, hématologue, Saint Louis Pr. Godeau, médecin interniste, Henri Mondor Pr. Grimaldi, diabétologue, Pitié Salpetrière Pr. Guillevin, médecin interniste, Cochin Pr. Kieffer, chirurgien vasculaire, Pitié Salpetrière Pr. Kuttenn, gynécologue médicale, Pitié Salpetrière Pr. Lyon-Caen, neurologue, Pitié Salpetrière Pr. Mariette, rhumatologue, Bicêtre Pr. Menasche, chirurgien cardiaque, Georges Pompidou Pr. Musset, radiologue, Antoine Béclère Pr. Niaudet, pédiatre, Necker Enfants Malades Pr. Sahel, ophtalmologue, Hôpital des Quinze-Vingts Pr. Sedel, chirurgien orthopédiste, Lariboisière Pr. Valla, hépatologue, Beaujon Pr. Varet, hématologue, Necker Pr. Vernant, hématologue, Pitié Salpetrière

Vacances !!

Ayé ! On est en vacances ! Fin d’un long marathon depuis le début janvier….

Nous partons demain à Annecy pour une semaine, petite maison au bord du lac, plein de gens à voir (Mélanie et Vincent, Anne Marie et Michel, les Champagne, une librairie à Aix les Bains, Mélusine, un spa à Grenoble…).

Au retour, encore quelques longues semaines à tirer pour moi avant les congés… Bah oui, c’est que ça se fabrique tout ça ! Rassurez vous, Guillaume a eu pour le moment raison de ma folie consumériste et nous n’avons toujours qu’un body, deux paires de chaussettes et un mobile pour le/la pauvre petit(e). (larme à l’oeil).

Bonne semaine, bonne dégustation des chocolats de Pâques ou des matsot de Pessah, au choix !

Annecy-bridge-a.jpg

Surfer plus pour travailler plus

C’est Le Monde qui l’écrit :

Selon ses résultats, les salariés qui surfent à des fins personnelles sont environ 9 % plus productifs que les autres.

La consultation des sites les plus prisés au bureau (…) ne doit pas, toutefois, dépasser une « limite raisonnable ». Limite que le Dr Brent fixe à 20 % du temps de travail. Ce qui fait tout de même plus d’une heure et demie de surf pour une journée de 8 heures.