A quelle vitesse va un Velib’ ?

Vendredi dernier :

  • Départ : borne 15051 (place Henri Rollet) à 18:30
  • Arrivée : borne 11031 (en bas de chez nous) à 19:02
  • Soit un trajet de 7,9 km (source)

Ca nous fait une moyenne de 14,8 km/h, en respectant la plupart (sic) des feux.

Dimanche soir, je rentre de chez ma sœur…

  • Départ : borne 5031 (rue Lacépède)
  • Arrivée : borne 11031 (en bas de chez nous)
  • Soit un trajet de 3,3 km, parcouru en 12 minutes et 30 secondes (avec une belle descente, et moins de feux rouges) : 15,8 km/h.

Mise à jour, 3ème voyage ce matin (jeudi 23 octobre) : 5,1 km en 20 minutes (pile poil), ça fait du 15,3 km/h. Globalement les résultats sont assez cohérents.

A titre de comparaison, d’après le bilan des déplacements à Paris 2007, la vitesse moyenne de circulation des véhicules à Paris se montait à 14,9 km/h entre 18 et 19h (et encore ils comptent les grands boulevards ! si on ne compte que le boulevard St Michel, la vitesse moyenne descend à 12,2 km/h en moyenne sur toute la journée !).

Moralité, on va aussi vite est Velib qu’en voiture à Paris, même sur de longs trajets. Mais qui en doutait ?

En Basse-Normandie aussi, on a nos rappeurs…

Il s’appelle Orelsan… c’est un grand moment. On adore les lyrics, le lapin racaille, le maillot de Caen qui apparaît dix fois pendant le clip, le dérapage en 106. On adore.

On pourrait croire que c’est un gag, et pourtant mine de rien, il est régulièrement en concert à la Boule Noire à Paris (c’était notamment le cas… ce soir).

AMAP, saison 1, épisode 2

Dans le panier du jour :

– 500 g de pommes de terre

– 2 poireaux

– Une demi-botte de carottes

– Une salade

– Une botte de bettes (vous faites moins les malins, hein ?)

AMAP 102

On est d’ailleurs preneurs de recettes à base de bettes. Mamita suggère des bettes à la béchamel et effectivement c’est une des recettes les plus populaires ! Au retour de l’AMAP, et en redescendant la rue Oberkampf, j’ai été prise d’un élan d’amour pour le commerce de proximité « à la française » : baguette tradition à la boulangerie, escalopes de veau chez le boucher… C’est un des avantages du quartier !!

Réalisation de la semaine dernière : soupe potimarron/carotte/pomme de terre (et photo artistique de Guillaume !). Bon vent !

soupe potimarron

AMAP, saison 1, épisode 1

Une AMAP, c’est donc une « Association pour le Maintien d’une Agriculture Paysanne ». Il s’en monte un peu partout en France, y compris en Île de France (voir le site).

L’association met en relation un groupe de consommateurs et des producteurs qui livrent la production de leur exploitation chaque semaine, la production étant pré-financée par les consommateurs. Tous les achats se font directement aux producteurs. Les légumes sont récoltés un jour avant la distribution et sont donc uniquement de saison. Le partage de la récolte est réalisé selon un principe de solidarité sur la composition du panier entre les adhérents et les producteurs : la composition du panier dépend des conditions de production (aléas climatiques, par exemple).

« Nos » fermiers viennent de l’Oise, et pour notre part nous allons chercher nos légumes tous les mardis soirs près du métro Ménilmontant.

Pour cette semaine, notre demi-panier se compose de carottes, d’un demi-potimarron, d’un demi-chou rouge, d’une betterave et de pommes de terre rouges.

amap 101 AMAP 101 (2)

Ainsi sont lancés de grands défis tels que l’acquisition d’un mixeur plongeur (Merci Mamita !!!), d’une rape à légumes; la cuisson d’une betterave ou la réalisation d’une soupe de potimarron.Pour une très peu cuisinière comme moi, c’est déjà un bon début 😉

So stay tuned for the demi-panier de l’AMAP, every Tuesday 🙂

Tiens j’aurais bien aimé écrire ça.

(…) Alors on se couche à onze heures, pour ne pas être fatigué au boulot, et on ne sort pas en semaine (ah c’est sûr, c’est tellement plus important d’être efficace au boulot que d’être avec les gens qu’on aime.) On garde le chocolat qu’on voulait manger pour en avoir encore demain. On ne part pas sur un coup de tête dans les îles anglo-normandes parce que l’argent sera mieux employé lors de prochaines vacances huit mois après. Tiens, on remet le voyage en Italie en amoureux à plus tard, il sera toujours bien temps. Et puis quoi ? On fait l’amour le samedi, parce qu’un autre jour, ça ne serait pas raisonnable ?

Je veux faire l’amour toute la nuit, pas vingt minutes le dimanche matin. Je veux partir où je veux, quand je veux, et de préférence maintenant. Je veux baffrer ma plaque de chocolat en entier, tout de suite. Je veux sourire en ayant la gueule dans le cul au boulot parce que je me suis couché à une heure totalement idiote, juste parce que je ne réussissais pas à quitter les copains. Je veux m’offrir le plaisir d’être idiot dans les vapeurs de l’alcool. Je veux mettre mon poing dans la gueule au premier à qui je dirai « Hé, si on se faisait plaisir » et qui me répondra « Ce n’est pas raisonnable. »

Raisonnable mon cul. (…)

Lu ici : La gestion raisonné du plaisir.

En ce moment, je n’arrête pas les sites pour les scouts :

Sarah doit poster un message sur notre adhésion à l’AMAP du coin, mais elle n’ose pas. Alors tous avec moi : Sarah ! Sarah ! Sarah !.

Crise, encore…

Alors que la bourse se pète encore un peu plus la gueule aujourd’hui, je suis tombé sur cette vidéo (en anglais !! c’est Sarah qui va être fière de moi) du Daily Show, dont les 5 premières minutes m’ont fait bien bien rigoler (je n’ai pas eu le temps de regarder la suite…). On y voit ce journal télévisé satirique causer de la crise (avec en guest star Bill Clinton…).

Je poste ça avant d’oublier.