Sarah Cohen – Gogo, anirel(le) :
Chatounet (Cohen-Gogo ?), mascotte :
Nous leur souhaitons chaleureusement la bienvenue.
Sarah Cohen – Gogo, anirel(le) :
Chatounet (Cohen-Gogo ?), mascotte :
Nous leur souhaitons chaleureusement la bienvenue.
c’est du moelleux ! 🙂
(là, c’est moi avec Madame au téléphone)
Bref. Ouverture de l’opération portes ouvertes à la maison pour ceux qui voudraient fêter notre canapé avec nous 😉 , profitez en avant que chaton n’ait foutu en l’air le velour (ahah).
Comme vous l’avez peut être remarqué, le site a passé une semaine off. En fait il s’en est fallu de peu que ce site disparaisse pour toujours. Heureusement la raison l’a emporté, et le site revit. Vite vite, sauvegardons pour de bon ce trésor (faut penser à nos enfants. 😉 ).
PS : Si par hasard une fenêtre agressive parlant d’hameçonage ou de phishing apparait sur votre navigateur à la lecture de ce blog, par pitié ne la validez pas.
PPS : Où suis je ? 🙂
14h50, je suis à Bondoufle (entre Evry et Brétigny sur Orge), comme souvent ces derniers temps. Ma boite m’a envoyé au sein de la direction informatique des Intermarchés depuis la Toussaint, et c’est terrible comme parfois je suis touché par l’humanité de cet environnement.
Ce midi nous étions sept hommes à déjeuner à la même table du restaurant d’entreprise : six de la grande entreprise IBM, et moi. Nous travaillons sur le même projet (pour installer un environnement de téléphonie sur IP), lancé depuis des mois et qui -nous l’espérons tous bien fort- devrait se terminer bientôt. Bref, nous voici sur cette table ovale, nous avons la plupart opté pour le couscous à 2,78€, qui est ma foi honnête pour son prix. En tout et pour tout, il y eu trois minutes de parole sur le temps du déjeuner. Tout le monde -moi le premier- le nez dans son assiette, les mouches volaient, c’était triste et finalement plutôt… amusant pour peu qu’on prenne un peu de recul.
Je regrette parfois de ne pas avoir un talent de croqueur comme peut l’avoir ma soeur. Certaines ambiances comme celles ci mériteraient d’être conservées pour la postérité. Tant pis.
Après avoir remplacé notre fer à repasser (pour mes chemises ça devenait vraiment nécessaire…)
Après avoir remplacé notre micro ondes (pour la main de Sarah ça devenait vraiment nécessaire…)
Après avoir remplacé notre tondeuse (pour ma barbe ça devenait vraiment nécessaire…)
Nous avons accueilli depuis ce matin deux nouveaux membres pour notre famille d’équipements ménagers ! Bienvenue donc à notre nouvelle machine à café (qui remplace la bonne vieille Senseo des beaux parents…) et à notre nouveau four à pain (qui ne remplace personne lui, mais me fait déjà rêver) (le bon pain chaud de 8h30…) ! En exclu voici donc leurs photos d’identité :
Merci à vous.
(Il parait que bientôt nous nous offrirons un nouveau canapé aussi. Il parait…)
Hier soir pour l’anniversaire de ma frangine nous sommes allés voir un chouette bonhomme, Grand Corps Malade. Je ne suis pas très fort pour ce qui est compliments et cie, mais on a vraiment beaucoup aimé. Enthousiasme, simplicité, un accompagnement instrumental riche, au service de textes… au poil (forcément).
Il parait que la presse a beaucoup parlé de ce slameur cet été, pendant que nous profitions de son album sur les routes de Nouvelle Zélande. Pour ceux qui ne connaissent pas malgré tout, un petit tour sur le site officiel ou sur ce radio blog vous permettra de partager avec nous ses petites pépites.
Jean Debruynne s’est éteint samedi 8 juillet dernier. Ce nom ne doit pas vous dire grand chose… et pour cause, le père Jean Debruynne fut aumônier des Scouts et Guides de France. Il a écrit des milliers de textes superbes, dont celui là, qui m’avait beaucoup marqué :
Je te souhaite de ne pas réussir ta vie.
Je te souhaite de vivre autrement que les gens arrivés.
Je te souhaite de vivre la tête en bas et le cœur en l’air, les pieds dans tes rêves et les yeux pour entendre.
Je te souhaite de vivre sans te laisser acheter par l’argent.
Je te souhaite de vivre debout et habité, de vivre le souffle en feu, brûlé vif de tendresse.
Je te souhaite de vivre sans titre, sans étiquette, sans distinction, ne portant d’autre nom que celui de l’humain.
Je te souhaite de vivre sans que tu aies rendu quelqu’un victime de toi-même.
Je te souhaite de vivre, sans suspecter ni condamner, même du bout des lèvres.
Je te souhaite de vivre sans ironie, même contre toi-même.
Je te souhaite de vivre dans un monde sans exclu, sans rejeté, sans méprisé, sans humilié ni montré du doigt.
Je te souhaite de vivre dans un monde ou chacun aura le droit de devenir ton frère, de devenir ton prochain.
Un monde où personne ne sera rejeté du droit à la parole, du droit d’apprendre à lire et de savoir écrire.
Je te souhaite de vivre libre dans un monde libre.
Je te souhaite de parler, non pour être écouté, mais pour être compris.
Je te souhaite de vivre l’inespéré,
C’est à dire que je te souhaite de ne pas réussir ta vie…
De temps en temps, je me demande si je suis fidèle à tout ça, à mon engagement scout. Et puis en général j’oublie vite. Mais ça reste un chouette idéal.
Après une petite année de loyaux services à la crêperie auprès de ma maman, il était plus raisonnable (et pour plein de raisons…) de retourner vers mon méter d’origine. Sans entrer dans les détails sans intérêt, sachez donc qu’à partir de la semaine prochaine, je ferai partie de la famille grandissante de B3G Telecom, une boite qui fait de la téléphonie par internet (un peu comme Skype pour ceux auxquels ça ne dit rien…). A priori, il y a de quoi faire et des perspectives plein les cartons, et largement de quoi trouver une jolie place dans quelques temps. 🙂
La roue continue donc de tourner…
les photos ! J’ai créé une gallerie sur le site suivant : http://gogocohen.free.fr. N’hésitez pas à l’enrichir si vous avez des photos, c’est très simple et je vous donnerai les login et mot de passe avec plaisir ! 😉
Bisous.
Guigui : bon bah voilà, qu’est ce que vous voulez que je vous dise mes enfants… Zidane est un simple mortel finalement. Ca fait chier de voir les italiens champions du monde alors qu’honnêtement on les a balladé pendant une heure… La sortie de Vieira, puis celles d’Henry et de Zidane, c’était probablement trop. C’était notre dernière dream team avant un bon bout de temps…
Concrêtement nous avions réglé le réveil à 5h30 ce matin pour mater tout ça sur la télé de notre (chouette) chambre, Sarah avait du mal à ouvrir l’oeil ce qui ne m’empêchait pas de dévorer le match. Le penalty osé de ZZ, les corners monstrueux des italiens, Thuram et Vieira encore une fois énormes, les français se battaient c’était touchant. Et puis en 2ème mi temps ils ont pris les choses en main, Henry quelles percées ! Et puis Zidane a collé un coup de boule à l’autre italien, qui effectivement a du lui en sortir des vertes et des pas mûres (j’ai cru le voir lui pincer les tétons, suis je le seul à avoir eu cette hallucination ?). Et Thuram en pleurs, et Zidane qui ne vient pas chercher sa médaille… Pfff, il était parti pour être notre prochain président (qui doutait que les français allaient en planter un 2ème avec leur n°10 à la baguette ?), et voilà tout est gâché… Ca restera comme une belle aventure, au scénario que même Hollywood n’aurait osé écrire.
Sarah : bon bah voilà, qu’est ce que vous voulez que je vous dise mes enfants… c’est lundi matin et on en fout pas une, à part boire du café et pleurer sur le triste sort de la nation. J’arrête pas de me dire qu’il faut pas qu’on arrête ce blog, on va trouver un autre filon, mais c’est tellement charmant de débarquer et de voir 14 (!) commentaires, tout le monde qui se répond en restant dans l’inertie du mariage… J’kiffe grave. On poursuit aujourd’hui notre remontée vers Christchurch, d’où nous prenons l’avion mercredi midi. Sniiiiiiiiiiiiiiiiiiif.
La fameuse boîte à messages :
Mel : t’es où ??? pas de nouvelles bonnes nouvelles ?
GMG : alors comme ça tu regardes le foot en compagnie du blog avec une pensée pour les avaleurs de frites belges ? So nice !
Maman Pat : le Canadou chique un peu, il est vrai, il est joueur quoi. Mais n’empêche qu’il t’a (un peu) réconciliée avec les chats !
Maman Jaja : (Guigui reprend le clavier) : tu peux vraiment pas venir à la maison sur ton vélo magique ? Après 3 semaines à l’autre bout du monde et 24h d’avion ça ferait plaisir de rentrer direct à la maison…